Deux lycées de seconde zone de Tokyo ont été presque abandonnés par leurs directeurs. Pourquoi ? Car ces deux écoles, MajiJo, l'école des filles et Suzuran, l'école des garçons, sont réputées pour contenir des délinquants. En effet, leur but est d'atteindre le sommet du lycée pour en devenir le boss. Un Yakuza, Yukata Shin à ouvert un nouveau lycée et réunis les deux écoles pour n'en faire qu'une seule. Seulement, entre les Team qui s'affrontent, la cohabitation difficile, ceux qui veulent étudier et ceux qui veulent se battre, les élèves oublient une chose. Pourquoi un yakuza aussi puissant aurait fait cela ? Pourquoi un homme riche et aussi mesquin dépenserait des millions de yens pour ouvrir une nouvelle école ? N'oubliez pas de chercher le complot car il est peut-être bien plus proche que vous ne le pensez...
Sujet: Je me croyais seul ! [Saheba Megumi] Mar 1 Avr - 14:03
Je me croyais seul !
Je venais de terminer ma journée de cours et m'étais empressé de ranger mes affaires avant de courir dans le vestiaire du gymnase où j'enfilais rapidement un survêtement. Le club de danse ne se réunissait normalement pas ce soir et j'allais en profiter pour squatter leur salle. Une fois prêt, je me rendais à la salle et ouvrais la porte avant de juste passer la tête pour m'assurer qu'il n'y avait personne. Et heureusement pour moi, elle était vide. J'y entrais donc avant de refermer la porte derrière moi. Je m'asseyais sur un banc et retirais mes baskets avant d'enfiler mes roller et d'aller vers la chaîne. Je connectais mon i-pod, je lançais une chanson du groupe dont faisait un de mes amis d'enfance. "Unmei Girl" était parfaite pour danser avec mes rollers. Je ne faisais pas ça tout le temps, mais surtout quand j'étais de bonne humeur. Et là, je l'étais j'avais vu une "unmei girl". Et puis, je ne risquais pas d'être griller. En général, les élèves avaient tendance à fuir le lycée. Je me plaçais devant le miroir et commençais à m'éclatais. Le roller, peu importe si je dansais ou pas, était vraiment mon plus grand plaisir. Pendant que "dansait", je ne pouvais pas m'empêcher de pousser de temps à autre la chansonnette. Je ne sais pas si je chantais juste, mais personne n'était là pour me juger. *Petit frère, j'espère que tu es fier de moi là haut. Que tu n'as pas honte de moi. J'aurais aimé t'apprendre tout ça* Penser à lui ne me faisait plus de mal. Alors, je me le permettais de temps en temps. Je me re-concentrais alors sur ce que je faisais.